Mais encore ?

Vous débarquez ici un peu contraints et forcés, souvent sous la menace du kebab (parce qu’un kebab ça peut-être menaçant, surtout quand c’est avarié !) et vous vous demandez d’emblée ce que vous foutez là, à perdre votre temps à lire les élucubrations de deux scribouillards en manque d’inspiration, non mais c’est vrai, « Max et le Kebab », c’est quoi au fond ?

Vous l’aurez compris, vous avez atterri sur la page de présentation, celle qui fait joli en haut de la page et que personne ne lit réellement. Pourquoi la remplir alors me demanderez-vous ? Ce à quoi je répondrai, toutes dents dehors : « PASKE », en Oranginois dans le texte. Voilà, tout est dit, enfin, tout et rien, vous n’avez toujours aucune idée de qui se cache derrière « Max et le Kebab ». Laissez-moi vous faire un topo : il y a Max, et aussi le Kebab (avec un K majuscule, parce que je le vaux bien), oui, oui, je sais, on s’en doute et vous avez vu clair dans mon jeu, j’essaye de gagner du temps, parce que je n’ai toujours pas d’inspiration, voyez, ça pousse pas encore sur les arbres, on aimerait bien mais non, c’est comme ça, y a la page blanche, et l’enfer. Puis tout bien considéré, puisque l’inspiration ne fait pas le bonheur, autant que le fric pousse sur les arbres. Je vous perds ? Allez, recentrons…

Comme vous avez été bien gentils, je vais tout de même répondre à votre question : « Max et le Kebab » c’est la réunion de deux âmes sous un même hébergeur, deux glandeurs un peu hors du temps qui ont décidé de partager quelques truculentes anecdotes de leur quotidien, c’est un binôme à un cœur à l’ère du quadri-core. Bref un blog à deux, un concept quelque peu casse-tronche je vous l’accorde mais un défi intéressant à relever.

Pour le moment, comme on est mignons mais pas très organisés, on ne sait pas encore trop bien ce qu’on va vous proposer, mais on a deux-trois idées conductrices : du blabla de tous les jours dont personne n’a rien à cirer (sauf que bizarrement c’est toujours ce qui marche le mieux), deux trois bafouilles sur des trucs qu’on a aimés, et peut-être même des trucs plus construits si l’inspiration nous fait une apparition divine.

A part ça, vous ne savez toujours pas qui nous sommes, mais comme nous avons notre petit côté méfiant, nous allons pour l’instant nous limiter à une brève présentation sans rentrer dans les détails.

Max et le Kebab, c’est un petit couple de post-ados/pré-adultes légèrement inadaptés et rêveurs qui n’ont pas la prétention de refaire le monde mais qui aimeraient beaucoup dormir un peu plus la nuit.

Max est l’optimiste de la bande, le créateur de métaphores alambiquées que lui seul comprend, tout nu au carrefour de l’onirisme et de l’humour de comptoir à base de bites de couilles, de nichons et de juifs lépreux. Dans la vie, il aime surtout le pain, mais quand il n’y en a plus, il se rabat sur le riz, mais il n’en abuse pas, parce que le riz ça constipe. Max aime aussi la musique, souvent, il regrette qu’elle ne se mange pas, ça ferait d’une pierre deux coups et il est sûr qu’elle serait bien meilleure au goût que le sempiternel hamburger maison du lundi midi, ce dont je ne doute pas.

Le Kebab, c’est la caution coup de gueule, rien ne va plus, ô désespoir et j’en passe. Mixez le tout avec des fraises-tagada et des chaussures à talons et vous obtenez un bon Kebab bien garni (garanti 0% de matières grasses). Le Kebab aime la pluie depuis qu’elle* a migré dans le sud et aspire à l’absolu silence que pourrait procurer une cellule capitonnée. Elle revendique sa folie mais refuse de se faire soigner, sait-on jamais, ça pourrait nuire à l’inspiration, et peut-être même donner des hémorroïdes.

Je crois que maintenant tout est dit, vous n’en avez sans doute pas retiré grand chose mais j’espère que ces quelques lignes vous donneront envie de pénétrer (owi) dans notre univers et peut-être d’y rester un peu.

Sincères salutations,

Le Kebab

*ndlr : oui oui, la mort de Pratchett est bien un homme, je ne vois pas pourquoi le Kebab ne pourrait pas être une femme…